La ténèbre n’est pas ténèbre. Parler à partir de ce qui nous échappe. (soirée débat)

Quel rôle peut-on reconnaître au malheur dans l’esquisse d’un sens possible, pour une existence individuelle, mais aussi dans une perspective collective ? La privation de point d’appui et le discrédit qui frappent certains jusqu’à les entraîner vers une sorte de perte de soi peuvent-ils donner lieu, de manière tout à fait paradoxale, à une expérience de vérité, la naissance à un autre rapport à soi, au monde, à Dieu, qui puisse être reconnue comme prometteuse pour tous, éclairant ainsi un possible dénouement ultime positif ?

En termes théologiques, c’est la question du salut qui est mise au travail de manière nouvelle. Si cette hypothèse s’avère envisageable, quels enseignements en tirer dans la manière de penser l’existence humaine et la vie en société jusqu’en ses dimensions politique et historique ?

Avec :

• Jean-Claude CAILLAUX, La Pierre d’Angle – Fraternité Quart Monde
• Maryvonne CAILLAUX, La Pierre d’Angle – Fraternité Quart Monde
• Dominique COATANEA, Centre Sèvres – Facultés jésuites de Paris
• François ODINET, Centre Sèvres – Facultés jésuites de Paris
• Paul ROUSSY, Université Bordeaux-Montaigne

Soirée publique proposée dans le cadre des journées d’études « Au creux du malheur la lumière ? Peut-on affirmer que le « malheur » est un lieu de salut ? » les 13 et 14 janvier 2023 (chaire Jean Rodhain)

Avec ces enseignant(e)s :

Laure BLANCHON

Sœur ursuline de l’Union Romaine. Docteur en théologie. Professeure en théologie dogmatique et pratique. Titulaire de la Chaire Jean Rodhain.

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Jean-Claude CAILLAUX

Bibliste de formation. Animateur de «La Pierre d’Angle» qui rassemble des groupes constitués de personnes en situation de précarité.

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