Dernières publications des enseignants du Centre Sèvres

Divers
Publié le 12 avril 2013

Voici quelques conseils de lecture pour les semaines à venir :

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Une foi qui change le monde, Etienne Grieu, s.j., Bayard Editions. Mars 2013

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« L’engagement politique des chrétiens dans les questions de société est l’occasion pour eux de vivre la présence au monde comme un combat spirituel et de faire l’expérience de Dieu. L’auteur aborde les questions du désir de vivre ensemble, la place réservée à ceux qui ne parviennent pas à faire valoir leurs capacités dans nos systèmes d’échange et l’expression des désirs de réconciliation. »

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Quand la foi est sociale. Analyse de récits de chrétiens engagés, Alain Thomasset, s.j., et Bertrand Cassaigne, s.j., Bayard Editions. Janvier 2013

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Ce livre rassemble onze récits. Onze chrétiens ont accepté de répondre à une double question : « En quoi vos engagements ont-ils enrichi, transformé votre foi – à travers des rencontres vécues, des épreuves ? En quoi votre foi a-t-elle orienté, fortifié votre engagement ? » Ces témoins viennent aussi bien du monde des institutions sociales que de l’entreprise ou de la vie politique. Ils sont d’âges différents. Leur itinéraire dans l’Église a pris des couleurs multiples, au sein de mouvements, de paroisses, de groupes de spiritualité, À partir des récits, les lecteurs sont ainsi engagés à découvrir personnellement les liens trop peu explorés entre le monde de la foi et celui du travail, de la vie sociale. Chaque témoignage est relu par les deux théologiens à l’origine de ce projet pour tenter de discerner le chemin de foi à l’œuvre dans le trajet et les interrogations de chacun.

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Figures de théologiens, de Joseph Moingt, s.j., Editions du Cerf. Avril 2013

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M. Blondel, E. Troeltsch, D. Bonhoeffer, A. Dumas, M. de Certeau, H. de Lavelette, G. Kowalski, H. de Lubac, M. Légaut, J. Loew

« Le titre « Figures de théologiens » donné à ce volume ne doit pas faire illusion : il s’agit de portraits théologiques, non biographiques, ni psychologiques, ni littéraires ; j’y parle de théologiens disparus, uniquement, et ne m’intéresse qu’à leur théologie, et encore à leurs orientations et à leurs pratiques plus qu’à leurs idées. »