Des mots dangereux rôdent dans le vocabulaire de la foi et de la Bible. Nous aimerions les éliminer car ils risquent d’entraîner de graves mécompréhensions. Mais pouvons-nous nous en débarrasser, et à quel prix ?
Des mots dangereux rôdent dans le vocabulaire de la foi et de la Bible. Nous aimerions les éliminer car ils risquent d’entraîner de graves mécompréhensions. Mais pouvons-nous nous en débarrasser, et à quel prix ?
Des mots dangereux rôdent dans le vocabulaire de la foi et de la Bible. Nous aimerions les éliminer car ils risquent d’entraîner de graves mécompréhensions. Mais pouvons-nous nous en débarrasser, et à quel prix ?
Une théologie du quotidien ? – 2e semestre
« J’habiterai la maison du Seigneur pour la durée de mes jours » (Ps 22, 6b, traduction liturgique). Quels mots le chrétien peut-il encore utiliser pour témoigner de sa foi ? Dans un monde autonome et déchristianisé, où la religion est pensée comme relevant plus de la sphère privée que publique, comment penser et dire la foi au quotidien ? Ce séminaire proposera un parcours sur la possibilité d’appréhender le monde, de s’y engager, d’y servir, d’y témoigner en attestant de l’actualité permanente, pour tout homme et toute femme, du message de l’Évangile. En partant toujours de l’Écriture, et à travers des textes du magistère, des extraits d’écrits de théologiens (H. de Lubac, K. Rahner, W. T. Cavanaugh), de philosophes, de sociologues (M. de Certeau), de saints et de chrétiens engagés, et avec quelques incursions dans la poésie et la littérature, nous nous interrogerons sur ce que signifie être disciple du Christ au fil des jours.
Avec ces enseignant(e)s :
75 % jeunes de moins de 26 ans
30 % demandeurs d’emploi
20% deux personnes composant le couple
Journées d’études : gratuité pour les étudiants
(un justificatif pourra être demandé)
