Spinoza, Ethique IV : De la servitude humaine ou des forces des affects
Cette partie de l’Ethique est consacrée à une analyse de la servitude à partir du jeu autonome des passions et de la faiblesse de la raison pour les surmonter. Celle-ci n’est pas sans ressource pour conduire l’homme à la liberté, mais ce ne sera pas au prix d’une toute puissance imaginaire. Une connaissance plus précise de la force des affects est alors nécessaire pour construire une éthique individuelle et penser la politique. Spinoza anticipe et renouvelle ici bien des dimensions de la dynamique affective dans l’anthropologie contemporaine.
Avec ces enseignant(e)s :
75 % jeunes de moins de 26 ans
30 % demandeurs d’emploi
20% deux personnes composant le couple
Journées d’études : gratuité pour les étudiants
(un justificatif pourra être demandé)