Colloque du 22 juin 2018, fruit d’un séminaire organisé conjointement par le Laboratoire d’études sur les monothéismes (UMR 8584 EPHE/CNRS) et par le Département d’études patristiques du Centre Sèvres.
Partager
PatristiqueThéologie
Avec ces enseignant(e)s :
Docteur en Théologie, licence de philosophie (Paris IV-Sorbonne), maîtrise en droit du travail (Paris X-Nanterre), maître de conférences en théologie. Exégète.
Membre de l’ACFEB.
Recensions d’ouvrages pour la revue Etudes.
Membre de l’ACFEB.
Recensions d’ouvrages pour la revue Etudes.
Ancienne élève de l’ENS, agrégée de Lettres Classiques, professeur de grec à l’Université Lyon 3, chercheuse à l’Institut des Sources Chrétiennes
Jésuite, diplômé d’HEC, docteur en théologie patristique (Centre Sèvres) et en histoire du christianisme ancien (Paris-Sorbonne), maître de conférence en théologie patristique et dogmatique au Centre Sèvres
jésuite, agrégé de lettres classiques, docteur en théologie (Centre Sèvres), enseignant en patristique et théologie dogmatique au Centre Sèvres. Membre du « Groupe des Dombes », de la Commission luthéro-catholique romaine sur l’unité, et du Comité mixte de dialogue théologique Catholique – Orthodoxe en France.
Directrice d’études émérite de l’EPHE (Histoire et doctrines du christianisme latin – Antiquité tardive), membre de l’Institut d’Études Augustiniennes.
Membre de la communauté apostolique Saint-François-Xavier, titulaire d’une maîtrise en théologie, agrégée de philosophie, docteur de 3e cycle en philosophie, HDR, professeur de la Faculté de philosophie du Centre Sèvres, chercheur de l’Institut d’Études Augustiniennes, membre du comité scientifique de la Bibliothèque Augustinienne.

Soirée autour du livre de François Jullien : « Moïse ou la Chine. Quand ne se déploie pas l’idée de Dieu »
La référence à « Dieu » – « la grande affaire » de l’Occident – est présente tout au long de l’histoire chinoise, mais semble perdre en pertinence au cours de la période axiale (de 800 à 200 av. JC), remplacée par le Dao. Dans son livre, Jullien s’interroge sur « l’écart » impliqué par ces partis pris de la pensée qui ont conduit à rendre vertigineuse la pensée de Dieu en Europe alors qu’elle s’est résorbée dans la tradition chinoise.

La ténèbre n’est pas ténèbre. Parler à partir de ce qui nous échappe
Quel rôle peut-on reconnaître au malheur dans l’esquisse d’un sens possible, pour une existence individuelle, mais aussi dans une perspective collective ? La privation de point d’appui et le discrédit qui frappent certains jusqu’à les entraîner vers une sorte de perte de soi peuvent-ils donner lieu, de manière tout à fait paradoxale, à une expérience de vérité, la naissance à un autre rapport à soi, au monde, à Dieu, qui puisse être reconnue comme prometteuse pour tous, éclairant ainsi un possible dénouement ultime positif ?

La théologie au service du peuple de Dieu (à l’occasion du prix Ratzinger 2022)
Trouver des mots pour rendre la foi audible et crédible en notre temps : tel est l’objet de la théologie. Comment celle-ci nourrit-elle la vie des communautés chrétiennes ? Comment peut-elle rendre compte de l’espérance dans nos diverses sociétés et cultures, en Europe comme dans d’autres continents ? Comment doit-elle être, aujourd’hui comme hier, au service de l’Église et du monde ?
A voir aussi
Pas de contenu trouvé.