La crise écologique interpelle radicalement les Églises qui, pourtant, témoignent toutes de leur foi en un Dieu créateur et sauveur « du ciel et de la terre ». Comment les questions soulevées par cette crise rejaillissent-elles sur la théologie de nos différentes traditions ? Inversement, comment celles-ci se laissent-elles interroger par les défis écologiques ? Ces défis questionnent-ils nos compréhensions de l’articulation entre justice et charité ? Quelles sont les conséquences de la perspective partagée d’une « fin des temps » qui n’est pas réductible aux temps de la fin ?