Lorsque nous nous trouvons face à une personne non communicante (état végétatif chronique, coma, sédation profonde…), nous pouvons être tenté de penser que l’humanité s’estompe avec la disparition de la parole, de la pensée, de la conscience. Quelle expérience faisons-nous quand une telle incertitude nous saisit, et que peut-elle nous enseigner ? Peut-on parler d’une relation lorsque la réciprocité n’est pas avérée ? Quelles ressources avons-nous pour maintenir une commune humanité dans ces situations extrêmes ? (Apports théoriques, analyse de situations, partages de pratiques)
13
Jan
2024
13
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