Jour : 27 avril 2020

La foi nous fait connaître par une infaillible certitude que Dieu est, qu’il est infini en bonté, qu’il se peut communiquer à nous, et que non seulement il peut, ainsi il le veut : si que, par une ineffable douceur, il nous a préparé tous les moyens requis pour parvenir au bonheur de la gloire immortelle.

La prédication du pape François, qui valorise la piété du peuple, remet sur le métier la question de la religion populaire. L’histoire montre que cette religiosité préserve le christianisme de devenir sec et abstrait. Quels en sont les traits ? Qu’est-ce que cela nous dit de la figure de l’Église qu’elle présuppose ?

L’exhortation post-synodale Amoris lætitia est un document important qu’il convient de mettre en œuvre. Elle a soulevé de nombreuses discussions qui risqueraient d’en minimiser la portée. Il importe d’en saisir la nouveauté, l’invitation à entrer dans un discernement au cas par cas qui fait confiance aux personnes et au travail de la grâce.

Dans cette conférence qui introduit à son livre « Les théologiens jésuites », Michel Fédou pose la question de l’existence d’un courant théologique jésuite. Après avoir rappelé sa grande diversité, il en signale cependant quelques traits marquants, notamment l’importance donnée à la liberté de l’homme, la place centrale du Christ, le souci de l’Eglise.

Ce film nous parle de résilience, d’amitié et d’espérance. Et d’humanité qui, comme la crise du Covid-19, révèle à la fois son pire et son meilleur visage dans les situations extrêmes.